Magdeleine Noir de Charentes

La Magdeleine Noir de Charentes variedad de uva de mesa muy divulgada en el medievo, fue encontrada en 1992 en Saint-Suliac. Totalmente desconocida, su genoma nos la reveló como la madre de Merlot N y la N côt

Indice

  • 1 Origenes
    • 1.1 Descubrimientos Recientes
    • 1.2 Origenes históricos
  • 2 Características

Origenes

Descubrimientos recientes

Esta variedad combina varios eventos excepcionales. Se encontró un variedad desconocida, en Bretaña, en Saint-Suliac concretamente en el año 1992; ya es curioso que se considerara vino, siendo en la parte Norte de Bretaña, donde sólo es es considerado como un vino unos pocos metros de la uva de mesa (en diferencia de la Bretaña de Nantes, que mantuvo un viñedo con AOC: Gros-planta-depays  y Muscadet Nantes). Entonces, muestras tomadas en 1993, algunas de sus ramas aterrizarán en mesas experimentales de los investigadores del INRA de Montpellier, especializados en la identificación cepas. Su veredicto es que es una Vitis Vinifera, variedades vinícolas, y por lo tanto no es un Vitis Labrusca.

En 2004-2005, las comparaciones de los genomas mostraron que en la colección del «domaine de Vassal» que contempla más de 2.300 muestras, no había ninguna muestra igual. Esto corroboró el descubrimiento de una cepa de origen ancestral realizado por François-Xavier Perrin en 1992.

Entre 2004 et 2008, une mission de recherche de cépages en Charentes découvre quatre pieds de treille inconnus dans quatre villages des Charentes. Après analyse de leur génome, il s’agit de la même variété de vigne que celle de Saint-Suliac. On peut désormais lui donner un nom puisque les Charentais qui la cultivaient l’appelaient madeleine, probablement à cause de sa précocité, étant mûre pour la sainte Madeleine, le 22 juillet. Face au grand nombre de cépages ayant porté le nom de madeleine, ils la nomment magdeleine noire des Charentes.

Un échantillon de cellules de ce cépage fut envoyé à l’Université de Californie à Davis spécialisée dans le décodage génétique. Le résultat fut inédit, car ce cépage était la mère du merlot N (métissage avec le cabernet franc N) et du côt N, (métissage avec le prunelard N), deux cépages très cultivés dont on ignorait l’origine.

Origine historique

En lui attribuant ce nom, les chercheurs ont admis l’hypothèse d’une origine charentaise. La proximité avec Bordeaux et le sud-ouest expliquent alors le métissage qui a donné merlot N et côt N. Le mystère demeure de sa présence beaucoup plus ancienne en Bretagne. Peut-être une datation future de l’âge du pied de vigne trouvé pourra-t-elle dévoiler un élément de réponse? Il est en tout cas étrange de trouver un cépage rouge dans une zone trop septentrionnale pour sa culture. Les vestiges de feu le vignoble breton découverts à ce jour révélaient des vignes de cépages blancs.

Caractères ampélographiques

  • Feuille adulte moins découpée que celle du cabernet franc. Sa feuille est plutôt trilobée et a des dents ogivales5.

Aptitudes

C’est un cépage très précoce.

Notes et références

  1. http://vigneronsbretons.over-blog.net/article-33187483.html [archive]
  2. cf historique sur le blog vignerons bretons, le numéro 1 de la revue Ar Men, l’ouvrage de référence de Robert Pujol et Dominique Delanoë dont la préface titre «breton et ligérien», Voyage au pays des Grands muscadet, le Vin des Bretons de Gérard Alle, la Loire bretonne de Christian Quéré, le chapitre X-lien à l’origine du futur cahier des charges AOC Gros Plant du pays Nantais replaçant le vignoble nantais dans le cadre breton
  3. Jean-Michel Boursiquot, École Nationale Supérieure Agronomique, Chaire de viticulture, Station de recherches viticoles, Place Pierre Viala, 34 060 Montpellier cédex 1
  4. [1] [archive]
  5. http://www.monaoc.com/document.asp?alc=n&t=2&id=9463&p=1 [archive]

Annexes

Articles connexes

  • Merlot
  • Côt